ASKIA 24
  • Accueil
  • Nord Actu
  • Politique
  • Sahelfox
  • Sécurité
  • Société
    • Atout
    • Culture
    • Éducation
    • Enquêtes
    • Faits Divers
    • Femmes et Jeunes
    • Santé
    Santé : le Maroc se dote de deux nouveaux pôles médicaux d’excellence

    Santé : le Maroc se dote de deux nouveaux pôles médicaux d’excellence

    Magnambougou : arrestation de deux individus en possession de munitions et de produits psychotropes

    Magnambougou : arrestation de deux individus en possession de munitions et de produits psychotropes

    Transhumance et extrémisme violent dans le Gourma togolais : les éleveurs pris entre deux feux

    Transhumance et extrémisme violent dans le Gourma togolais : les éleveurs pris entre deux feux

Pas de resultats
Voir tous les resultats
  • Accueil
  • Nord Actu
  • Politique
  • Sahelfox
  • Sécurité
  • Société
    • Atout
    • Culture
    • Éducation
    • Enquêtes
    • Faits Divers
    • Femmes et Jeunes
    • Santé
    Santé : le Maroc se dote de deux nouveaux pôles médicaux d’excellence

    Santé : le Maroc se dote de deux nouveaux pôles médicaux d’excellence

    Magnambougou : arrestation de deux individus en possession de munitions et de produits psychotropes

    Magnambougou : arrestation de deux individus en possession de munitions et de produits psychotropes

    Transhumance et extrémisme violent dans le Gourma togolais : les éleveurs pris entre deux feux

    Transhumance et extrémisme violent dans le Gourma togolais : les éleveurs pris entre deux feux

Pas de resultats
Voir tous les resultats
ASKIA 24
Pas de resultats
Voir tous les resultats

DJÉLIBOUGOU – DOUMAZANA : Une femme frappe son mari avec une pioche sur la tête pour une raison pathétique !

DJÉLIBOUGOU – DOUMAZANA : Une femme frappe son mari avec une pioche sur la tête pour une raison pathétique !

Le motif de l’agression est aussi rocambolesque que le coup qui a failli être fatal à l’époux.

Pour non-paiement du « na-songon », Bagui, l’époux, a failli perdre la vie. Une dispute conjugale a rapidement dégénéré en une agression d’une violence extrême, avec un coup de pioche en plein crâne. Cependant, la raison de cet acte dépasse le simple refus du mari de s’acquitter de son devoir familial. Elle est pathétique et interpelle chacun d’entre nous.Les faits
À Doumazana, un incident d’une rare brutalité s’est produit au sein d’un couple. L’épouse, Minata, a frappé son mari avec le bout pointu d’une pioche, un geste qui aurait pu lui être fatal.Le coup a pénétré la partie superficielle du crâne, causant des blessures graves sans pour autant perforer les os. Une chance inespérée pour la victime. Alertés par les cris de détresse, les voisins ont immédiatement transporté Bagui au Centre de Santé de Référence (CSREF) de Korofina.Sur place, les agents de santé, stupéfaits, ont découvert l’homme avec une pioche encore plantée dans la tête. Incapables de gérer une telle urgence, ils ont orienté le patient vers le service des urgences du CHU Gabriel Touré, où il a été pris en charge avec diligence.Les examens médicaux approfondis ont permis de confirmer que sa vie n’est plus en danger. Toutefois, Bagui souffre encore de vertiges et de troubles de mémoire, comme il l’a confié lors d’un entretien téléphonique. Malgré tout, il n’a rien oublié de l’agression. Pour lui, une chose est claire : plus question de retourner vivre avec Minata.Mais comment en est-on arrivé là ?
Selon les voisins, l’incident s’est produit le samedi 9 novembre 2024, aux environs de 8 heures. Une discussion autour des dépenses ménagères, le fameux « na-songon », a éclaté entre les époux. La dispute a rapidement dégénéré en une altercation verbale suivie d’échanges violents.C’est alors que Minata, hors d’elle, s’est saisie d’une pioche dans la cour et a asséné un coup violent à la tête de son mari avec la partie pointue de l’outil. Les cris de douleur de Bagui ont alerté les voisins, qui ont immédiatement contacté le Commissariat de Police de Boulkassoumbougou. Une équipe de police s’est rendue sur place pour constater les faits et procéder à l’interpellation de l’épouse.Lors de son audition, Minata a reconnu les faits et justifié son geste par l’arrêt de son mari à fournir le « na-songon ». Mais pourquoi Bagui a-t-il cessé de s’acquitter de son devoir conjugal ?La réponse est simple : il n’a plus de revenus. Bagui, vulcanisateur de métier, subit de plein fouet les conséquences des délestages électriques qui ont paralysé son activité. Désormais sans ressources suffisantes, il peine à nourrir sa femme et leurs quatre enfants.

Et maintenant ?
L’épouse, Minata, a été placée en garde à vue pour violences conjugales ayant entraîné des blessures graves pouvant conduire à la mort.

Tags: bamakodjelibougoumeutre
PartagerTweeterPin

Autres Articles

Magnambougou : arrestation de deux individus en possession de munitions et de produits psychotropes
Faits Divers

Magnambougou : arrestation de deux individus en possession de munitions et de produits psychotropes

4 novembre 2025

Deux individus ont été arrêtés lundi à Magnambougou, dans la capitale malienne, alors qu’ils détenaient plusieurs produits psychotropes ainsi que...

Faits divers : 20 ans après, il découvre que son père est en réalité… son meilleur ami !
Faits Divers

Bamako :Drame au 3e pont : une mère se jette dans le fleuve Niger après avoir déposé son bébé

23 octobre 2025

Une scène d’une rare violence émotionnelle s’est produite ce jeudi matin sur le 3e pont. Aux environs de 8h, une...

SADIOLA : un présumé assassin arrêté
Faits Divers

SADIOLA : un présumé assassin arrêté

8 octobre 2025

Après plusieurs semaines de recherches, les enquêteurs du commissariat de Sadiola ont finalement interpellé S.D., 27 ans, soupçonné d’un assassinat...

Mali: le ministre rachète sa maison paternelle…
Faits Divers

Mali: le ministre rachète sa maison paternelle…

19 août 2025

Un ministre de la Transition en activité, selon nos informations, comme pour prendre une quelconque revanche sur ses frères et...

À propos de nous

ASKIA 24

Askia 24 est le principal site d'information et d'actualité dédié à la région de Gao. La rédaction, située à Gao, s'appuie sur un réseau de correspondants et de collaborateurs répartis dans tous les cercles de la région. Notre équipe, jeune et dynamique, garantit une indépendance totale dans le traitement des informations.

Rédaction : +223 76 86 80 67 / 99 42 52 50
Adresse mail : redaction@askia24.net
Siège : Gao/Mali

  • Accueil
  • Nord Actu
  • Politique
  • Sahelfox
  • Sécurité
  • Société

© Askia 24 - 2025 | Site développé par Imager Mali

Pas de resultats
Voir tous les resultats
  • Accueil
  • Nord Actu
  • Politique
  • Sahelfox
  • Sécurité
  • Société